Louis Moinet célèbre la mission qui a changé la face du monde : Apollo - Soyouz

Communiqué de presse – Baselworld 2018

Louis Moinet célèbre la mission qui a changé la face du monde : Apollo - Soyouz

« La conquête de l’espace est une saga technologique mais, avant tout, une histoire d’Hommes qui ont accompli l’impensable pour faire progresser l’humanité. C’est cet esprit, autrefois porté par l’horloger et astronome Louis Moinet lui-même, que nous célébrons aujourd’hui avec Skylink ».

Dans la lignée de « SpaceWalker », le tourbillon satellitaire dédié à la mission spatiale de 1965 d’Alexeï Leonov, Louis Moinet dévoile une deuxième création qui relate l’autre grande aventure de l’astronaute russe, menée en 1975 : Apollo – Soyouz. Il s’agit de la première mission spatiale commune entre l’Union Soviétique et les Etats-Unis d’Amérique. Soyouz 19 part du Cosmodrome de Baïkonour, Apollo de Cape Canaveral en Floride, se rejoignant pour le premier rendez-vous spatial de l’humanité.

Un tournant de 50 ans de Guerre Froide

Les amateurs d’Histoire comme de conquête de l’espace auront remarqué l’anomalie. Apollo est un nom de code spatial des Etats-Unis, Soyouz de l’ex-URSS. En 1975, le monde est plongé dans la Guerre Froide. Les deux blocs s’affrontent à tous les points de vue, notamment dans une course effrénée de conquête de l’espace. Comment les deux ennemis autoproclamés ont-ils pu sceller une alliance au beau milieu d’un de leurs théâtres d’affrontement ? C’est là qu’Alexeï Leonov est entré en scène.

Un homme porteur des espoirs de l’humanité

L’astronaute va changer la face du monde le 17 juillet 1975 à 19h20. A cet instant précis, seule l’écoutille de Soyouz 19 le sépare d’Apollo, les deux vaisseaux étant arrimés dans l’espace. En déverrouillant la trappe, Alexeï Leonov ouvre un monde nouveau, de paix et de coopération, et sa première poignée de mains interstellaire avec le Commandant Thomas Stafford restera gravée à tout jamais.

C’est cette conquête spatiale mais avant tout humaine que Louis Moinet est fier de célébrer aujourd’hui. La pièce s’appelle Skylink, comme ce lien qui s’est subrepticement tissé entre deux hommes, représentant leur nation, au beau milieu de l’espace.

Le cadran de Skylink dépeint cette immensité cosmique. Un procédé graphique, exclusif à Louis Moinet, permet de créer des couleurs qui rappellent une nébuleuse, cet amas de gaz et de poussières interstellaires riche de multiples variations chromatiques. Cette composition est survolée des deux aiguilles « Goutte de rosée » propres à Louis Moinet. Les index tridimensionnels surélevés qui s’étirent sur ce cadran donnent une profondeur réelle à la pièce, un côté architectural renforce leur finition très particulière. Leur flanc présente une partie diamantée et satinée, afin d’amener l’éclat le plus profondément dans le cadran et donner une étincelle de vie à la pièce. Le contraste de couleurs est accentué par la laque posée sur chaque index. Les secondes s’égrènent sur leur compteur de 9 heures dont la fine pellicule métallisée donne une variation de couleur à la lumière, allant du bleu nuit au violacé.

A 3h vient se nicher une particularité propre à Skylink. Là, une micro capsule emprisonne pour l’éternité un fragment de la toile de polyamide qui protégeait Apollo lors de son retour sur Terre le 24 juillet 1975, dite « feuille de Kapton », ainsi que des fibres du gant de scaphandre russe Sokol K. Ce scaphandre avait été utilisé pour la première fois en 1973 à bord de Soyouz 12 et est toujours employé de nos jours. Louis Moinet établit ainsi un lien physique entre cette aventure survenue il y a 43 ans, l’espace et l’astronomie dont l’horlogerie est la fille et chacun des propriétaires de cette collection unique.

Cette série très limitée portée par un bracelet bleu nuit ou noir sera composée de 19 pièces en or blanc, 19 en or rose et 75 en acier, en hommage à l’année 1975 durant laquelle s’est déroulée la mission Apollo-Soyouz. Chacune d’elle reproduit sur son cadran l’authentique signature d’Alexeï Leonov.